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Les propositions des amis de "Pourvu qu'on ait livre's"
Tous les amis du site "Pourvu qu'on ait livre's" peuvent soumettre une critique de livres, de films........un parcours ou une idée d'escapade.
Il vous suffit de nous la soumettre par Mel à l'adresse :
pourvuquonaitlivres@gmail.com, accompagnée de vos documents éventuellement et nous les publierons bien volontiers.
Notre idée est d'échanger autour de la culture, de confronter notre lecture des oeuvres, d'engager, pourquoi pas, le débat (cordial), de donner envie de sortir...
Cinéma Théâtre Livres Musique Musées Restos/Bars Autres sorties Les escapades
livres...
La voix des vagues
de Jackie Copleton, Éditions Les Escales, 2016
Un roman intense et bouleversant où s’opposent la beauté et l’horreur. Un récit très dense qui, en 360 pages, traite de nombreux sujets : le Japon d’avant la guerre, l’exil aux États-Unis, la culture japonaise…le remord, la culpabilité, les secrets de famille…
Chaque chapitre est introduit par une définition d’un trait de caractère ou d’une notion importante dans la culture japonaise, cette introduction est en lien avec le chapitre et permet d’éclairer le lecteur sur le comportement des personnages.
L’histoire :
Tout commence aux États-Unis, lorsque Amaterasu, une femme âgée, ouvre sa porte à un homme défiguré qui prétend être son petit-fils. C’est un choc pour la vieille femme. Elle et son mari ont fui le Japon après les horreurs des bombardements à Nagasaki et après avoir cherché en vain leur fille et leur petit-fils. L’arrivée de cet homme va ouvrir la porte des souvenirs d'Amaterasu et de tout un pan de sa vie qu'elle avait laissé en ruines à Nagasaki.
Qui est cet homme ? Est-il vraiment son petit-fils ? Pour le savoir, nous remontons le temps avec Amaterasu. Le récit bouleversant n’est pas construit de manière linéaire, mais comme des aller-retours entre différentes périodes. La force de ce récit est de n’être jamais lassant, l’auteure dévoile cette fresque familiale par petites touches de vie. Nous apprenons beaucoup sur l’histoire du Japon, sa culture et le poids des traditions.
Si vous aimez le Japon, sa culture, la poésie, les sentiments, les secrets de famille...Alors, il faut lire "la voix des vagues" : Superbe !
Brigitte
https://tourbillondeslivres.wordpress.com/
« Deux ans, huit mois et vingt huit nuits », soient « mille et une nuit »
de Salmam Rushdie, Acte Sud
« Deux ans, huit mois et vingt huit nuits », soient « mille et une nuit »
C’est sur le mode du conte oriental que Salmam Rushdie raconte son histoire. Il y a mille ans, le philosophe humaniste Ibn Rushd (alias Averoès) se met en ménage avec Dunia, une « djinna », venue du monde magique, avec qui il a une nombreuse descendance. Ibn Rushd est en conflit avec Ghazali, fanatique religieux, lui aussi en contact avec un djin, personnage malfaisant, a qui il demande de mettre le monde à feu et à sang pour punir l’humanité de son incroyance.
Mille ans plus tard, les forces obscures inspirées par Ghazali passent à l’acte. Revenue sur terre, Dunia aidée de sa nombreuse descendance parviendra à terrasser les forces obscures.
Le narrateur parle dans les années trois mille, dans un monde pacifié et débarrassé de la religion.
Le livre peut se lire comme un conte merveilleux. On peut aussi le lire entre les lignes (déchiffrer la métaphore de l’actualité, particulièrement le déferlement du djaïnisme), c’est encore mieux. Après « les versets sataniques », Saldam Rushdie persiste et signe.
JR dit Junior, notre correspondant à Lille.
Le secret du mari
de Liane Moriarty, Livre de Poche
Après la lecture de "Après le silence" (conseil de Nathalie), dense, subtil, émouvant mais plombant, j'avais envie de légereté. Alors pourquoi pas "Le Secret du mari" qui trône sur les étals du Furet du Nord. Peut-être ce titre était-il évocateur pour moi ? L'action se situe en Australie mais pas d'exotisme, dommage ! L'intrigue est bien ficelée, un peu trop, à l'américaine ; La romancière brosse le portrait de trois femmes, différentes par leur âge et leur psychologie mais pas par leur statut social : ce sont toutes des bourgeoises ! Leurs destins vont se croiser de façon ,certes un peu artificielle. C'est l'étude des rapports intra familiaux analysés avec une certaine finesse qui m'a intéressée. Du coup, on réfléchit sur ses relations avec son compagnon, ses enfants, sa belle-mère, etc. Le style est simple mais pas simpliste. Ajoutons qu'il y a une forme de suspens qui se poursuit jusqu'à l'épilogue ; Une lecture facile mais pas débilitante, pour les fêtes même si les enfants virevoltent autour de vous !
Ida de Lille
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Musique...
Camille en tournée
Ajoutez plus d'infos sur cet élément...
Qu’on se le dise, à l’occasion de la sortie de son 5ème album « OUÏ », Camille est en tournée ! Nous étions pour notre part au premier de ses 4 concerts consécutifs à La Cigale (du 6 au 10 Juin).
Un piano, une batterie, un mur d’étranges percussions et…des voix. Ces voix qui jouent les unes avec les autres. Ces voix qui priment sur les instruments en se substituant souvent à eux. Ces voix pour lesquelles Camille communique sa passion.
En nous rendant à ce concert, nous étions particulièrement curieux d’en découvrir la scénographie, tant celles de ses précédentes tournées regorgeaient d’inventivité. Banco ! A nouveau, l’artiste propose un spectacle tant pour les oreilles que pour les yeux. Cette fois, le bleu est de mise et baigne la scène. Tissus, voiles et draperies enveloppent le spectacle et se vouent à de multiples déclinaisons, se déclinent à de multiples utilisations.
Et puis, à cette enseigne, vous n’êtes jamais à l’abri d’une surprise. Le 9 Juin, au terme de son concert à la Cigale, Camille entraîna son public dans les rues de Montmartre pour mener une grande chorale, debout sur un banc public.
Quoi qu’il en soit, ce concert mystérieux et envoûtant nous a donné envie de le revoir en vidéo (ce qui n’est pas dans nos habitudes), avant de viser un des deux prochains prévus les 20 et 21 novembre aux Folies bergères. Qu’on se le dise, Camille est en tournée !
Luciole et Guillaume
Renaud, Phenix Tour
J'y allais parce que j'y suis toujours allé.
j'y allais parce que je ne me résoudais pas à ne pas y aller.
j'y allais par peur de ne plus jamais avoir l'occasion d'y aller.
En gros je n'y allais que pour de mauvaises raisons ! (mais le cœur a ses raisons...!) et non sans une certaine appréhension. Je m'attendais au pire... et bien j'avais tort !
Ce concert du 14 octobre au Zénith de Paris était très réussi et même mieux que celui auquel j'avais assisté, il y a déjà quelques années à Bercy. Cette salle ne s'appelait pas encore « Accord Hôtel Arena ». (Quel drôle de nom pour une salle de concert et d'événements sportifs !)
Certes les 2, 3, premières chansons sont un peu poussives, mais une fois la machine lancée, si la voix reste éraillée, on retrouve l'entrain du bonhomme. Plus de 2h15 sur scène, sans pause clope ni Ricard, rien que cela, ça se salut !
Une chose est sûre, Renault n'a perdu ni son humour, ni sa tchatche et en profite pour mettre les points sur les i : "j'ai embrassé un flic", oui comme tout le monde ce 11 janvier 2015 ! Pour ceux qui auraient un doute, il poursuit avec « la médaille » et « le déserteur »
Quand on a un zénith entier, qui reprend toutes les chansons (vraiment toutes !) en cœur, on peut dire qu'on est ni « mort et enterré ».... Tatatain....
Gérard Lambert
le 30/11/2016 à Metz
le 24/11/2016 à Boulazac
le 18/11/2016 à Bordeaux
Le 22/11/2016 à Pau
..........
De nombreuses autres dates et presque toutes les grandes villes accueillent Renaud.
N'hésitez pas à aller consulter vos sites préférés !!
Ibrahim Maalhouf
Au Zénith de Lille le 11 octobre
La très grande salle était pleine d’un public bien au delà des amateurs de jazz. Et pour cause. Pourtant le jazz était là, mais pas seulement. C’était du tout spectacle : jeu de lumières, invitations du public à chanter, à danser…Un petit air de « variétés », ou de concert de rock, mais pourquoi pas. D’autres avant Ibrahim ont flirté avec la variété, à commencer par Armstrong, Chet Baker, Miles Davis…
Bref, on a eu plein les yeux et plein les oreilles, tous les musiciens sur scène étaient au top !
En concert :
le 5/12 à Lyon
le 7/12 à Grenoble
le 3/12 à Paris
le 30/11 à Monte Carlo
le 6/12 à Cournon
le 2/11 à Annemasse
le 28/11 à Loriol
le 9/12 à Plougastel
le 14/12 à Paris
le 23/06/2017 à Paris
De notre correspondant à Lille : Junior dit JR
Musées...Expos...
Tolkien, voyage en Terre du Milieu.
présenté par Fabien
Jusqu'au 16 février 2020, La BnF consacre une exposition exceptionnelle au génie de la littérature fantastique, père de l'héroic fantasy : JRR Tolkien.
A travers des centaines de pièces : textes manuscrits, croquis, illustrations, documents historiques, l'exposition nous dévoile non seulement l'oeuvre mais aussi l'homme qui se cache derrière.
Construite comme un voyage dans cette fameuse Terre du Milieu, sillonnée par Bilbo puis la communauté de l'Anneau, la déambulation dans l'exposition permet de comprendre le monde imaginaire inventé par l'auteur britannique mais aussi de découvrir l'homme qu'il était et le monde tel qu'il l'appréhnendait.
Cette exposition est d'autant plus exceptionnelle que c'est la première fois en France que l'on peut voir les documents (cartes, croquis, dessins) et manuscrits originaux de l'auteur précieusement gardés à Oxford et dans le Milwaukee, mais aussi des œuvres rares de la collection de la BnF et de musées européens pour replacer la création artistique et littéraire dans le contexte historique et culturel qui l'a influencé.
Cette exposition permet de se rendre compte de la somme de travail fournie par Tolkien, qui en plus d'être philologue (il était expert du vieux finnois et du norrois) et spécialiste de littérature médiévale à l'université d'Oxford fut poète, romancier, illustrateur et même « créateur » de langues imaginaires (les langues des terres du Milieu) et mythologiste. On y découvre aussi que c'était un père qui écrivait ses histoires pour faire plaisir à ses enfants, et que son fils, Christopher, a tenté d'achever l'oeuvre de son père en ordonnant, regroupant et publiant les sommes énormes de brouillons et esquisses de textes produits dans des cahiers d'écoliers.
Il y a aura de quoi ravir les fans des premieres heures, les amoureux des belles lettres, les curieux qui voudraient en savoir plus sur le processus de création d'un univers imaginaire énorme, ou ceux qui veulent une occasion de se rendre dans ce lieu de culture qu'est la BnF.
On peut juste déplorer que l'exposition s'adresse surtout à un public adulte car il y a une quantité énorme de textes à lire et qu'elle est assez longue (près de 2heures), ce qui peut être rédhibitoire pour les plus jeunes.
Un conseil, achetez les billets en ligne et armez vous de patience : Il y a du monde !!!
Maison Elsa Triolet-Aragon
Moulin de Villeneuve, 78730 Saint-Arnoult-en-Ynelines
Une visite à faire en hiver pour imaginer le couple Aragon/Elsa deviser sur la littérature, l'art, la politique...dans un décor très chaleureux et en été, pour profiter de l'immense parc qui entoure l'ancien moulin.
Une trentaine de sculptures sont disséminées sur un parcours bucolique et poétique.
Le parc de 6 hectares est dominé par la pierre blanche du tombeau du couple.
La visite de la maison est riche, beaucoup d'œuvres d’art : Picasso, Fernand Léger... mais aussi émouvante. Depuis 1982 et la mort d'Aragon, rien n'a changé, le bloc du calendrier demeuré arrêté sur le 16 juin 1970, date de la mort d'Elsa, la cravate mauve jetée négligemment sur des livres n'a pas bougé non plus.
L'ensemble de la maison est magnifique. Certains aspects m'ont tout de même plus touché que d'autres.
- Quand vous recevez des invités, ils vous offrent du vin, des fleurs... ; Picasso invité, vous offrait des dessous de plats qu'il avait lui-même peints.
A priori, Elsa Triolet avait un côté pragmatique puisqu'elle utilisait ces œuvres d'art dans leur fonction première, à savoir sur la table de la cuisine pour poser les plats !
-30 000 livres !! il y a 30 000 ouvrages disséminés dans l'ensemble de la maison : dans une très belle bibliothèque qui orne le salon, dans le bureau d'Aragon, dans les couloirs, dans le bureau d’Elsa, dans la chambre de couple... et même dans ce qu'elle appelait “son placard à somnifères”... trois étagères pleines de la collection série noire.
-L’originalité du salon : la cage de l'ancienne roue du moulin est au centre. Une large vitre laisse voir l’eau couler en cascade, c'est du plus bel effet !!!
Bref, l'endroit est magnifique. C'est un lieu de mémoire des plus belles pages de la littérature du 20e siècle et des rencontres du monde de l'art en général. C'est aussi un lieu très vivant. Tout au long de l'année, on peut voir des expositions, assister à des rencontres avec des écrivains, à des concerts, des animations pour les plus jeunes autour des arts plastiques et de la poésie…
À vos agendas.
Léonard, caissier au péage de Saint-Arnoult
Icônes de l'art moderne, la collection Chtchoukine
Fondation Louiss Vuitton, 8 avenue du Mahatma Gandhi, 75016
Dommage, encore un truc où vous risquez de ne pas pouvoir aller parce qu’il faut s’y prendre pas mal à l’avance pour avoir des places et ça se termine le 5 mars….remarque il y en a qui ont plus de temps que les autres ! Quelle que soit l’expo de toutes façons ça vaut le coup d’y aller ne serait-ce que pour le bâtiment qui est magnifique. Je ne suis pas fan de Buren qui a recouvert les voiles de carrés colorés, je les préfère blanches mais c’est quand même très beau. On peut monter tout en haut pour voir l’architecture , superbe. Quant à l’expo, je cherche un nouveau superlatif, j’ai déjà dit magnifique ! Il y a 14 sallles pleines de trésors, des Picasso, Matisse, Monet, Cézanne, Gauguin….Même les salles sont belles, très hautes de plafond, certaines sont immenses et on peut voir les toiles sans se marcher dessus. Les tableaux sont mis en valeur , la salle consacrée à Matisse est un enchantement de couleurs.
Claudette
Walker Evans, exposition de photographie
Centre Pompidou du 26 avril au 14 août 2017
Une exposition à découvrir aux heures où il y a le moins d'affluence. Beaucoup de photographies sont un peu petites et ça serait dommage de devoir faire la queue pour les voir.
Les photographies en noir et blanc... c'est toujours plein de style ! C'est le cas ici, mais le travail de Walker Evans est surtout remarquable d'un point de vue du témoignage d'une époque et des gens qui l'ont traversée. Walker Evans (1903-1975) est un photographe américain connu pour son style documentaire.
Il a fait des photographies de l'Amérique en crise des années 30 qui dégagent un fort pouvoir émotionnel.
Cette exposition retrace tous les thèmes de prédilection du photographe : les anonymes, les baraques aux bords des routes, typiquement américaines, les devantures des magasins ...C'est donc tout un pan de l'histoire des États-Unis que l'on traverse ici.
Mirette
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Films...
La jeune fille et son aigle
de Otto Bell, avec Daisy Ridley, (narratrice de la version originale) 1h27, aventure, documentaire, Mongolie.
Dresseur d'aigle, c'est un métier d'homme en Mongolie. Depuis l'enfance, Aisholpan assiste son père qui entraîne les aigles.
L'année de ses 13 ans, elle décide avec l'aide de son père, d'adopter un aigle pour en faire un chasseur de renards. Parviendra-t-elle à briser les traditions et à se faire accepter par les anciens du village ?
Un beau film pour enfant et préado.
Les valeurs véhiculées ici sont primordiales et bien d'actualité. À sa manière cette jeune fille lutte contre les traditions qui discriminent les femmes.
Par la force de sa volonté, mais aussi grâce au soutien et à la bienveillance de sa famille, Aisholpan saura montrer qu'une fille n'a pas moins de courage qu'un garçon !
C'est donc, non seulement un documentaire intéressant qui par ses paysages invite au voyage et à la découverte de cultures différentes, mais aussi, très émouvant.
Seul regret, la version française est très mauvaise ! Les voix ne collent pas du tout aux personnages, du coup on est parfois à la limite du ridicule et cela amoindri la force du propos ou de l' émotion.
Du point de vue d'un adulte, on se fait moins d'illusions. C'est un beau conte certes, mais une fois de plus, on constate que l'émancipation féminine n'est possible que grâce à l'adhésion des hommes.
Sans l'assentiment de son père et de son grand-père Aisholpan ne serait pas aller bien loin dans l'accomplissement de son projet. Le message d'espoir reste donc relatif... c'est pas gagné !
Madame Accipitridae
Autres sorties...
Le piano perd les pédales
présenté par Magali
Avant d'entrer dans une salle intimiste, vérifiez bien que votre téléphone soit chargé et que l'application " adri1" soit installée car c'est vous qui prenez en mains le déroulement du spectacle ! Ça change ! Ça induit forcément de bonnes blagues et des quiproquos acidulés ! Chaque soirée est donc unique!
En ce temps d'automne pluvieux, agréable moment de bonne humeur!
Mag ouille
Vincent Dedienne : « S’il se passe quelque chose »
Du 21/12/16 au 02/04/17 - LE TRIANON - PARIS 18
J’ai vu Vincent Dedienne au Trianon mais je ne devrais pas en parler parce que c’est complet partout tout le temps sauf si vous allez à Ste Clotilde le 24 février ou le 16 mars à Monceau les Mines. « S’il se passe quelque chose » n’est, comme il le dit, ni du stand up, ni une série de sketches mais un peu de tout ça quand même. Dans ce spectacle il raconte sa vie, celle de son personnage avec beaucoup de dérision et de sensibilité. On retrouve le côté absurde de sa revue de presse au petit Q de Barthès mais on découvre un comédien drôle et attachant. Vincent Dedienne est homo, il ne s’en cache pas, bien au contraire mais il n’en joue pas non plus, il est nature et naturel tout comme l’est son entrée sur scène (et sa sortie )à poil. (plutôt très bien foutu d’ailleurs !!)
Claudette
Barbe-Neige et les sept petits nains au bois dormant
de Laura Scozzi
Barbe-Neige et les sept petits nains au bois dormant de Laura Scozzi passait aux Ulis et c’était très très très drôle. Ils sont 8 danseurs menés à la baguette par une fée perverse qui revisite les contes et ils n’ont pas peur du ridicule, tous en robe de Blanche Neige ou en abeilles , mêlant danse classique et hip hop. Blanche-Neige est ravie de croquer la pomme, les 3 petites cochonnes n’ont pas peur du loup, Cendrillon est un grand black en jupette….ils dansent bien et jouent aussi avec leur visages réjouis. J’ai vu que ça passait au théâtre du Rond-point jusqu’au 31 janvier et je suppose que ça continue ailleurs.
Claudette
Arlette GRUSS "Le cirque"
Non adepte du cirque traditionnel, je n'ai pu que profiter de l'occasion d'accompagner mon fils ( 10 ans ), sa copine ( 8 ans ) et la mère
de cette dernière au cirque. Places offertes par un Comité d'Entreprise, on ne peut que se motiver avant la magie de Noël.
Arrivés avec une heure d'avance, nous étions aux premières loges, juste devant la piste, au premier rang, le rêve de tous les enfants.
Le spectacle très varié, mêlant numéros classiques : dressages divers et variés ( otaries, chevaux, chameaux, éléphants, lamas, tigres, lions, zèbres......même des rats!), du jonglage ( avec des ballons de foot ! ), du tissu, de la poutre, du trapèze, du funambulisme... Mais, certains numéros ont étonné grâce à leur originalité ou leur nouveauté, voire les deux !
Tous ces numéros étaient enchaînés par des clowneries ou moments plus poétiques ou musicaux.
2H30 de spectacle avec 20 minutes d'entracte.
A noter une garde robe superbe ( inspirée peut-être par Jean Paul Gaultier ).
Moins de nez rouge mais des motos bondissantes, des lasers et un orchestre pour toute la durée des festivités ; nous avons vécu un agréable moment féérique.....
Mag
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A chacun sa journée du patrimoine !!
A Marcoussis, on échange sur la mécanique, l'esthétique, les astuces des uns et des autres!!
De quoi passer un dimanche convivial et festif!!
Avis aux amateurs de tournevis, de roulements à bille et autres spécialistes!!
Magali
